Ne jamais abandonner.
Un magnifique voyage où l’on en sort heureux. Un conte de fée qui nous donne à croire, profondément, en l’humanité. J’en suis ressortie pleine d’espoir, plein de rêves en tête. La leçon de vie est bouleversante et lorsqu’une pincée d’humour et des paillettes de romance viennent en saupoudrer le tout, cela serait bien bête de bouder son plaisir.
Le titre. Pour une fois, c’est ce titre qui ne me tentait guère. Je boude un peu les dramas qui ont pour thème le monde des affaires. Et pourtant, encore une fois, j’ai eu tort. D’ailleurs, ce titre aurait dû s’appeler « Start-up, follow your dream », car il s’agit bien ici de protagoniste se cherchant, se tâtant et courant au final sans peur vers leur rêve, mordant leur vie à pleine dent. Et c’est aussi pourquoi j’en suis tombée amoureuse.
Le parcours d’une start-up, ici sous toutes les coutures. Cela peut paraitre rébarbatif, et pourtant, cela fut un réel plaisir que d’apprendre le fonctionnement d’une start-up, le jargon de ce monde, les écueils mais aussi les espoirs qui vont avec. De ce que j’ai pu lire en enquêtant un peu à droite et à gauche, car je suis loin d’être une experte en la matière, le drama est très bien documenté et les aspects du monde des start-up sont proches d’un documentaire. S’entourant d’expert en la matière, le scénariste s’est assuré de savoir parler d’un sujet qui a été peu évoqué par le passé. La cancre que j’étais et qui dessinait durant les cours d’économie aurait apprécié ce type d’apprentissage…
C’est donc avec une certaine excitation que nous suivons leur parcours, priant tous les dieux de les voir réussir.
Agonisant avec leur angoisse mais applaudissant à leur victoire, pour un peu et je me pensais faire partie intégrante de leur équipe.
Se mordre les lèvres lors des compétitions, j’avoue y avoir pris mon pieds.
C’est donc un carton plein pour un thème qui était tout sauf passionnant à mes yeux.
L’atout majeur de ce drama ne repose pas seulement sur cela. Comme souvent, donner vie à des personnages et leur insuffler un charisme qui crève l’écran est selon moi ce qui m’obligera à y rester scotchée telle une glue.
C’est donc sans surprise que ce drama y a excellé haut la main. Il faut savoir qu’au commande de cette perle il y a tout de même Oh Choong Hwan, réalisateur du géniallissime (c’est un mot?) « Hotel Del Luna » qui rappelons-le possède l’héroïne la plus méchante, la plus drôle et la plus émouvante du monde! (j’exagère un peu?, ah bon…).
Mais pas que.
Il y a aussi le fantastique et drôle « While you were sleeping » avec un de mes duos préférés Suzy/Lee Jong Suk, et « You who came from the star« , magnifique drama (magnifique Kim Soo hyun surtout hahaha).
La scénariste est quant à elle, Park Hye Ryun, celle qui nous a pondu « Dream high » (oui, peut-être un peu cheesy aujourd’hui, mais sacrebleu le genre cheesy qu’on adore sans savoir pourquoi!), « While you were sleeping« , « Pinocchio » (Un drama qui une fois n’est pas coutume, m’aura fait aimé les journalistes) et surtout « I hear your voice« , drama qui aura fait battre mon coeur à la folie, d’ailleurs mon premier noona drama.
Le couple principal est adorable et dès les premières minutes où leur regarde se croise, la magie s’opère toute seule. Je lis rarement les critiques avant de me lancer dans un drama, cela m’évite des préjugés, et j’ai été loin de me douter que le couple que forme Suzy, avec Nam Joo Hyuk à l’écran avait soulevé autant les foules. Je mentirai si je disais que je n’avais pas une petite préférence pour Kim Seon Ho au départ. Ce n’était pas tant pour l’acteur que j’apprécie grandement, mais plutôt pour ces premiers instants où leurs destinées, Seol Dal Mi et Han Ji Pyung, vont étroitement se croiser. Pendant plus de la moitié de l’épisode, je pensais sincèrement qu’elle finirait avec lui (nan, je ne vous gâche pas la surprise, car il n’y a pas réellement de suspense à ce sujet là), il est après tout son premier amour…et puis, vint le chevalier à l’armure blanche, sur ces dernières secondes, leur regard qui se croise. Ce fut, à cet instant, une évidence, que rien ne viendra, pas une seule fois n’entacher cette certitude, que Seol Dal Mi et Nam Do San sont destinés.
Un couple maladroit et drôle, avec ces moments d’émotions intenses que savent si bien faire les coréens. Bien que Seol Dal Mi ne sache pas que Do San ne soit pas l’auteur des lettres, il est indéniable que son amour pour lui prend réalité dès leur premier rencontre. Je n’ai pas eu le syndrome du second lead, je pense que Han Ji Pyung a eu tout le temps qu’il fallait pour aller vers elle. Durant plus de la moitié du drama, il n’a pu qu’être dans l’ombre et bien que cela ait été un peu parfois dur de le voir ainsi, je ne vais pas vous mentir, j’ai été à 100% avec Nam Do San.
Mais au-delà de ce couple, ce que j’ai adoré est la relation que chaque personnage entretient les uns envers les autres.
L’amitié qui lie Lee Cheol San, Kim Yong San et Nam Do San.
J’avais peur de voir leur réussite leur monter à la tête, ou que leur lien ne se brise sur les rochers de la gourmandise ou de la traitrise. Rien de tout cela, amis maintenant, amis toujours.
La relation familiale si chère au yeux des coréens est bouleversante. Le point central ici est la grand-mère, Choi Won Deok. Incroyable grand-mère! Elle est le pilier qui réunit et mets tout le monde d’accord. Je ne compte plus les fois où j’ai dû discrètement essuyer mes larmes tout en me retenant de renifler….Choi Won Deok est une personne au grand coeur qui a su donner une affection immense sans compter à ceux qu’elle aimait. Drôle, combative et attentionnée, elle est la grand-mère que je veux être plus tard!
Je pensais naïvement que la mère qui avait honteusement abandonné sa fille ainsi que la soeur, typiquement envieuse, allaient être une épine pour Seol Dal Mi. Quelle erreur de ma part. J’ai adoré Cha Ah Hyun, qui sans aucune honte, divorce et décide de prendre sa vie en main. La voir lutter et regagner l’estime de soi afin de trouver sa place était drôle et rafraichissant en même temps. Elle retrouve sa place de mère d’une manière naturelle qu’il est impossible de lui en vouloir ne serait-ce qu’une seconde.
Et c’est bien la première fois qu’un personnage ayant fait une chose que je réprouve (je ne suis pas parfaite, non plus…) m’a donné envie de l’absoudre en l’espace d’un sourire, celui qu’elle a eut envers sa fille lors du pari entre Seol Dal Mi et Seol In Jae, au premier épisode. La suite me donnera amplement raison.
Et Seol In Jae? A la minute où je l’ai vu, le sentiment qui en ressort est de se dire qu’il y a des gifles qui se perdent…Et puis petit à petit, étrangement, le spectateur se rend compte d’une chose étrange. Malgré la dureté de ses mots, malgré son sourire méprisant, c’est une femme blessée, une femme qui se cherche aussi….Son évolution du début à la fin est remarquable. Tout en restant fidèle à son image, nous ressentons ce petit truc dans son attitude qui la rend différente. J’ai apprécié qu’elle n’ait pas été transformé en une harpie avide de gagner et de prouver avec force le bon sens de son choix. Au contraire, c’est le personnage qui m’aura fait le plus pleurer! Je ne m’y attendais pas du tout, mais alors pas du tout! L’épisode, avec ses yeux de pandas (ceux qui l’auront vu, comprendront) m’a fait pleurer comme un bébé. Kan Han Na a comme d’habitude incarné à la perfection son personnage.
Le côté loufoque et drôle est aussi apporté par les parents de Nam Do San, peu présent mais qui apportent beaucoup de rire à chacune de leur apparition. Ma scène préférée? Quand Park Geum Jung demande à son fils d’enlever sa doudoune? J’en ris encore.
Fait plutôt rare chez moi…j’ai totalement adoré le couple secondaire! Totalement inattendu, je n’aurais vraiment pas parié sur eux dès le départ. Et pourtant, ils nous l’ont rendu non seulement possible mais tellement attachant et adorable que je n’ai pu m’empêcher de penser en mon for intérieur qu’ils avaient un peu volé la vedette à Seol Dal Mi et Nam Do San….
Venons-en au protagonistes principaux. Le meilleur pour la fin, me dira-t-on.
J’ai mis ce drama de côté pour une seule et unique raison : Suzy. Je suis inconditionnellement une fan de Suzy depuis ses débuts. Cela ne me rajeunit pas n’est ce pas? Je l’ai découverte à ses débuts avec le groupe des Miss A et son premier drama « Dream High« . Je me souviens des critiques qui ne cessaient de pleuvoir sur sa façon de jouer, je me revois debout contre vents et marées à la défendre bec et ongles. Si je devais être honnête, bien qu’ayant eu le coup de foudre pour cette actrice, elle n’avait pas particulièrement brillé dans « Dream High« . Mais du chemin a été fait depuis, et il serait de mauvaise de foi de ne pas reconnaitre une nette progression, une amélioration de son jeu. Elle est la seule actrice que je trouve belle dans ses délires ubuesques….preuve en est la scène où elle pense que l’on a dessiné sur son visage après s’être endormi le visage collé à la fenêtre du bus. Ou bien elle est la seule (à mes yeux) à se déhancher comme une folle tout en étant gracieuse. La seule qui a ce côté chic et en même temps maladroit. Bref, je n’en démordrais pas, elle est mon idole de toute façon!
Ici, encore, elle ne m’a pas du tout déçue, apportant la Suzy touch et rendant Seol Dal Mi craquante dans ses délires farfelues.
Seol Dal Mi a cette force qui la fera se lever et marcher afin de réaliser ses rêves.
Cette force qu’elle a su transmettre à Nam Do San, Han Ji Pyung, à sa soeur, ne l’abandonnera jamais. Vacillera tout au plus telle une flamme pendant la tempête. Mais ne s’éteindra jamais.
Si certaines de ses décisions ne sont pas toutes sensées, et parfois en souffrant, elle ira tout de même jusqu’au bout de ses choix. Ses faiblesses ont été aussi sa force.
Nam Do San est celui qui a évolué le plus spectaculairement. De jeune adulte manquant d’assurance à un adulte qui prend pleinement conscience de ses atouts, il est vivifiant de le voir s’envoler, prendre de l’assurance et démontrer ainsi qu’il sait où il va.
Han Ji Pyung n’est pas le perdant de cette histoire, bien au contraire. Il est non seulement le mentor de l’équipe, celui qui sans les critiques constructifs n’auraient pas permis une victoire aussi éclatante de SamSan tech. Mais il est aussi celui qui a permis à notre couple principal de se rencontrer et de grandir.
Il est question dans ce drama de suivre son rêve.
De ne jamais abandonner sans avoir essayer.
De ne pas voir peur de l’échec.
De croire….
….Et de naviguer sans carte….
Le titre. Pour une fois, c’est ce titre qui ne me tentait guère. Je boude un peu les dramas qui ont pour thème le monde des affaires. Et pourtant, encore une fois, j’ai eu tort. D’ailleurs, ce titre aurait dû s’appeler « Start-up, follow your dream », car il s’agit bien ici de protagoniste se cherchant, se tâtant et courant au final sans peur vers leur rêve, mordant leur vie à pleine dent. Et c’est aussi pourquoi j’en suis tombée amoureuse.
Le parcours d’une start-up, ici sous toutes les coutures. Cela peut paraitre rébarbatif, et pourtant, cela fut un réel plaisir que d’apprendre le fonctionnement d’une start-up, le jargon de ce monde, les écueils mais aussi les espoirs qui vont avec. De ce que j’ai pu lire en enquêtant un peu à droite et à gauche, car je suis loin d’être une experte en la matière, le drama est très bien documenté et les aspects du monde des start-up sont proches d’un documentaire. S’entourant d’expert en la matière, le scénariste s’est assuré de savoir parler d’un sujet qui a été peu évoqué par le passé. La cancre que j’étais et qui dessinait durant les cours d’économie aurait apprécié ce type d’apprentissage…
C’est donc avec une certaine excitation que nous suivons leur parcours, priant tous les dieux de les voir réussir.
Agonisant avec leur angoisse mais applaudissant à leur victoire, pour un peu et je me pensais faire partie intégrante de leur équipe.
Se mordre les lèvres lors des compétitions, j’avoue y avoir pris mon pieds.
C’est donc un carton plein pour un thème qui était tout sauf passionnant à mes yeux.
L’atout majeur de ce drama ne repose pas seulement sur cela. Comme souvent, donner vie à des personnages et leur insuffler un charisme qui crève l’écran est selon moi ce qui m’obligera à y rester scotchée telle une glue.
C’est donc sans surprise que ce drama y a excellé haut la main. Il faut savoir qu’au commande de cette perle il y a tout de même Oh Choong Hwan, réalisateur du géniallissime (c’est un mot?) « Hotel Del Luna » qui rappelons-le possède l’héroïne la plus méchante, la plus drôle et la plus émouvante du monde! (j’exagère un peu?, ah bon…).
Mais pas que.
Il y a aussi le fantastique et drôle « While you were sleeping » avec un de mes duos préférés Suzy/Lee Jong Suk, et « You who came from the star« , magnifique drama (magnifique Kim Soo hyun surtout hahaha).
La scénariste est quant à elle, Park Hye Ryun, celle qui nous a pondu « Dream high » (oui, peut-être un peu cheesy aujourd’hui, mais sacrebleu le genre cheesy qu’on adore sans savoir pourquoi!), « While you were sleeping« , « Pinocchio » (Un drama qui une fois n’est pas coutume, m’aura fait aimé les journalistes) et surtout « I hear your voice« , drama qui aura fait battre mon coeur à la folie, d’ailleurs mon premier noona drama.
Le couple principal est adorable et dès les premières minutes où leur regarde se croise, la magie s’opère toute seule. Je lis rarement les critiques avant de me lancer dans un drama, cela m’évite des préjugés, et j’ai été loin de me douter que le couple que forme Suzy, avec Nam Joo Hyuk à l’écran avait soulevé autant les foules. Je mentirai si je disais que je n’avais pas une petite préférence pour Kim Seon Ho au départ. Ce n’était pas tant pour l’acteur que j’apprécie grandement, mais plutôt pour ces premiers instants où leurs destinées, Seol Dal Mi et Han Ji Pyung, vont étroitement se croiser. Pendant plus de la moitié de l’épisode, je pensais sincèrement qu’elle finirait avec lui (nan, je ne vous gâche pas la surprise, car il n’y a pas réellement de suspense à ce sujet là), il est après tout son premier amour…et puis, vint le chevalier à l’armure blanche, sur ces dernières secondes, leur regard qui se croise. Ce fut, à cet instant, une évidence, que rien ne viendra, pas une seule fois n’entacher cette certitude, que Seol Dal Mi et Nam Do San sont destinés.
Un couple maladroit et drôle, avec ces moments d’émotions intenses que savent si bien faire les coréens. Bien que Seol Dal Mi ne sache pas que Do San ne soit pas l’auteur des lettres, il est indéniable que son amour pour lui prend réalité dès leur premier rencontre. Je n’ai pas eu le syndrome du second lead, je pense que Han Ji Pyung a eu tout le temps qu’il fallait pour aller vers elle. Durant plus de la moitié du drama, il n’a pu qu’être dans l’ombre et bien que cela ait été un peu parfois dur de le voir ainsi, je ne vais pas vous mentir, j’ai été à 100% avec Nam Do San.
Mais au-delà de ce couple, ce que j’ai adoré est la relation que chaque personnage entretient les uns envers les autres.
L’amitié qui lie Lee Cheol San, Kim Yong San et Nam Do San.
J’avais peur de voir leur réussite leur monter à la tête, ou que leur lien ne se brise sur les rochers de la gourmandise ou de la traitrise. Rien de tout cela, amis maintenant, amis toujours.
La relation familiale si chère au yeux des coréens est bouleversante. Le point central ici est la grand-mère, Choi Won Deok. Incroyable grand-mère! Elle est le pilier qui réunit et mets tout le monde d’accord. Je ne compte plus les fois où j’ai dû discrètement essuyer mes larmes tout en me retenant de renifler….Choi Won Deok est une personne au grand coeur qui a su donner une affection immense sans compter à ceux qu’elle aimait. Drôle, combative et attentionnée, elle est la grand-mère que je veux être plus tard!
Je pensais naïvement que la mère qui avait honteusement abandonné sa fille ainsi que la soeur, typiquement envieuse, allaient être une épine pour Seol Dal Mi. Quelle erreur de ma part. J’ai adoré Cha Ah Hyun, qui sans aucune honte, divorce et décide de prendre sa vie en main. La voir lutter et regagner l’estime de soi afin de trouver sa place était drôle et rafraichissant en même temps. Elle retrouve sa place de mère d’une manière naturelle qu’il est impossible de lui en vouloir ne serait-ce qu’une seconde.
Et c’est bien la première fois qu’un personnage ayant fait une chose que je réprouve (je ne suis pas parfaite, non plus…) m’a donné envie de l’absoudre en l’espace d’un sourire, celui qu’elle a eut envers sa fille lors du pari entre Seol Dal Mi et Seol In Jae, au premier épisode. La suite me donnera amplement raison.
Et Seol In Jae? A la minute où je l’ai vu, le sentiment qui en ressort est de se dire qu’il y a des gifles qui se perdent…Et puis petit à petit, étrangement, le spectateur se rend compte d’une chose étrange. Malgré la dureté de ses mots, malgré son sourire méprisant, c’est une femme blessée, une femme qui se cherche aussi….Son évolution du début à la fin est remarquable. Tout en restant fidèle à son image, nous ressentons ce petit truc dans son attitude qui la rend différente. J’ai apprécié qu’elle n’ait pas été transformé en une harpie avide de gagner et de prouver avec force le bon sens de son choix. Au contraire, c’est le personnage qui m’aura fait le plus pleurer! Je ne m’y attendais pas du tout, mais alors pas du tout! L’épisode, avec ses yeux de pandas (ceux qui l’auront vu, comprendront) m’a fait pleurer comme un bébé. Kan Han Na a comme d’habitude incarné à la perfection son personnage.
Le côté loufoque et drôle est aussi apporté par les parents de Nam Do San, peu présent mais qui apportent beaucoup de rire à chacune de leur apparition. Ma scène préférée? Quand Park Geum Jung demande à son fils d’enlever sa doudoune? J’en ris encore.
Fait plutôt rare chez moi…j’ai totalement adoré le couple secondaire! Totalement inattendu, je n’aurais vraiment pas parié sur eux dès le départ. Et pourtant, ils nous l’ont rendu non seulement possible mais tellement attachant et adorable que je n’ai pu m’empêcher de penser en mon for intérieur qu’ils avaient un peu volé la vedette à Seol Dal Mi et Nam Do San….
Venons-en au protagonistes principaux. Le meilleur pour la fin, me dira-t-on.
J’ai mis ce drama de côté pour une seule et unique raison : Suzy. Je suis inconditionnellement une fan de Suzy depuis ses débuts. Cela ne me rajeunit pas n’est ce pas? Je l’ai découverte à ses débuts avec le groupe des Miss A et son premier drama « Dream High« . Je me souviens des critiques qui ne cessaient de pleuvoir sur sa façon de jouer, je me revois debout contre vents et marées à la défendre bec et ongles. Si je devais être honnête, bien qu’ayant eu le coup de foudre pour cette actrice, elle n’avait pas particulièrement brillé dans « Dream High« . Mais du chemin a été fait depuis, et il serait de mauvaise de foi de ne pas reconnaitre une nette progression, une amélioration de son jeu. Elle est la seule actrice que je trouve belle dans ses délires ubuesques….preuve en est la scène où elle pense que l’on a dessiné sur son visage après s’être endormi le visage collé à la fenêtre du bus. Ou bien elle est la seule (à mes yeux) à se déhancher comme une folle tout en étant gracieuse. La seule qui a ce côté chic et en même temps maladroit. Bref, je n’en démordrais pas, elle est mon idole de toute façon!
Ici, encore, elle ne m’a pas du tout déçue, apportant la Suzy touch et rendant Seol Dal Mi craquante dans ses délires farfelues.
Seol Dal Mi a cette force qui la fera se lever et marcher afin de réaliser ses rêves.
Cette force qu’elle a su transmettre à Nam Do San, Han Ji Pyung, à sa soeur, ne l’abandonnera jamais. Vacillera tout au plus telle une flamme pendant la tempête. Mais ne s’éteindra jamais.
Si certaines de ses décisions ne sont pas toutes sensées, et parfois en souffrant, elle ira tout de même jusqu’au bout de ses choix. Ses faiblesses ont été aussi sa force.
Nam Do San est celui qui a évolué le plus spectaculairement. De jeune adulte manquant d’assurance à un adulte qui prend pleinement conscience de ses atouts, il est vivifiant de le voir s’envoler, prendre de l’assurance et démontrer ainsi qu’il sait où il va.
Han Ji Pyung n’est pas le perdant de cette histoire, bien au contraire. Il est non seulement le mentor de l’équipe, celui qui sans les critiques constructifs n’auraient pas permis une victoire aussi éclatante de SamSan tech. Mais il est aussi celui qui a permis à notre couple principal de se rencontrer et de grandir.
Il est question dans ce drama de suivre son rêve.
De ne jamais abandonner sans avoir essayer.
De ne pas voir peur de l’échec.
De croire….
….Et de naviguer sans carte….
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