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  • Genere: Uomo
  • Località: France
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  • Data di Registrazione: agosto 15, 2020
Hakozume: Tatakau! Koban Joshi japanese drama review
In Corso 6/9
Hakozume: Tatakau! Koban Joshi
2 persone hanno trovato utile questa recensione
by Kenseiden
set 5, 2021
6 di 9 episodi visti
In Corso
Generale 8.5
Storia 7.5
Attori/Cast 9.5
Musica 9.0
Valutazione del Rewatch 7.0

Kawaiiii Pervenche

Des duos de flics, on en a eu et on en aura encore tant que les séries et les scénaristes en manque d'inspiration existeront. Mais comment bouder notre plaisir avec en rookie Nagano Mei et en vieux (si on peut dire) briscard confirmé, Toda Erika, deux stars, ayant déjà eu leur Asadora rien qu'à elles, mais surtout habituées des comédies légères, mais souvent efficaces.

Ma petite chouchoute, Nagano Mei retrouve également le fantasque Muro Tsuyoshi pour la soutenir, au point de reprendre son rôle de papa poule. Mais son personnage reste très secondaire par rapport au père surprotecteur et de fait beaucoup moins drôle de Oya Baka Seishun Hakusho. C'est vraiment Toda Erika, par son jeu et son statue de senpai/grande sœur/maman, envers Mei qui donne du charme à cette Arme Fatale des Koubans.

Vous découvrirez donc la vie trépidante des policiers de quartier japonais, chargés d'indiquer le chemin aux personnes âgées et de retrouver qui à fait tomber le bonzaï devant la porte. Rien de nouveau, peut être, car tant de mangas en ont tiré les traits et vu l'ambiance générale de la série, on est certainement en face d'une adaptation (que je n'ai pas lu, évidemment).

Mais vous n'êtes tout de même pas devant un gag-manga de plus. Car malgré l'humour omniprésent, insufflé par le jeu de Mei et Erika, mais aussi des seconds couteaux, flics masculins, c'est beaucoup d'émotion, aussi, qui est distillé dans ce feuilleton. Juste recrutée comme elle le dit elle-même, un peu par hasard, chez les flics. Son rêve de défendre le citoyen va se transformer rapidement en cauchemar tant elle semble éloigné des attentes du métier.

En réalité le scénario cache (mal) quelques secrets qui va changer sa vision du métier, mais surtout sa vie d'adulte, qu'elle apprend à gérer grâce à son mentor un peu trop envahissant. Notre Jeune Marie Pervenche (je me demande si Daniele Évenou ne serait pas une inspiration , d'ailleurs, au moins pour les cheveux) sera très entourées. Notamment dans son minuscule appart, transformant la série en Sitcom, mais toujours à la japonaise. C'est-à-dire avec les bons conseils du Senpai à son disciple pour la faire progresser, malgré les litre d'lcool bus à chaque scène. Le personnage de Mei, un peu trop Candide pourra énerver, mais elle le joue tellement bien. Pas vraiment de scénario à dévoilé car peu évolué, sans être une comédie qui vous fera pisser de rire comme Oya Baka, elle vous détendra après une dure journée de labeure. Un conseil, au producteur, une séquelle réunissant le duo Yamada Yuki, Miura Shohei en personnages principaux pourrait faire son effet, car c'est la bonne surprise de ce drama. Après la déception, Nishino Nanase et Muro Tsuyoshi largement sous exploités, voir transparents.

Bien sûr, on termine et on commence même, une fois n'est pas coutume par un Opening digne d'un (bon) anime punchy à souhait et surtout par un Ending tubesque interpréter par la Sia japonaise, Milet que j'adore. De quoi se mettre de bonne humeur malgré la prune sur le pare-brise de la voiture.
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