Wok wars
Comme le suggère le titre que j'ai choisi, ce drama m'a beaucoup fait penser au manga Food Wars par de nombreux côtés bien que bien moins déluré que ce dernier, il n'en est pas moins attachant pour autant, même s'il possède également plusieurs défauts à mon sens que je vais vous développer ci-après.
L'histoire :
Wok of love est une histoire de double vengeance et de romance sur fond de cuisine à la sauce gangster. Ce résumé rapide peut paraître un peu bizarre, je sais, mais si vous regardez ce drama vous vous rendrez vite compte que c'est un bon abrégé.
Les personnages :
J'ai découvert les acteurs Lee Jun Ho (Seo Pung) et Jeong Ryeo Won (Dan Seo Wu) à l'occasion de ce drama et je les ai trouvés convaincants dans leurs rôles, j'ai d'ailleurs hâte de les revoir dans d'autres productions, surtout Lee Jun Ho, car quand il sourit, c'est pas des papillons que j'ai dans le ventre, c'est des moissonneuses batteuses! Vous avez déjà entendu l'expression « avoir un sourire à un million de dollars »? Et bien là je veux bien payer ce million pour une compile de ses sourires...
Je connaissais déjà Jang Hyeok (Du Chil Seong) pour l'avoir vu dans Fated to love you et je dois avouer que je partais avec un à priori car je trouve sa façon de surjouer particulièrement agaçante, bon, il ne partait pas dans des grands éclats de rire comme dans ledit drama (même si la raison de ceux-ci est expliquée, ça reste énervant) mais le surjeu est là et il me fatigue, heureusement, ici aussi, au bout d'un moment il se calme pour nous livrer un jeu d'acteur bien meilleur parce que bien plus vrai d'après moi. Sa bromance avec le lead masculin est juste géniale même si pas autant poussée que dans d'autres productions que je connais.
Les autres rôles et acteurs jouent bien mais la personne dont je voulais surtout parler ici c'est la mère de la lead féminine, Jin Jeong Hye jouée par Lee Mi Suk. Alors, ici aussi il s'agit d'une découverte pour moi mais le personnage qu'elle joue m'a paru, au début, pour le moins agaçant mais par la suite, proprement IN-SU-POR-TABLE! Bon déjà, elle se fait embaucher en cuisine (pour éviter de finir à la rue, il faut le dire) et elle a déjà bien de la chance qu'on la prenne tellement elle est inutile et nulle en tout mais par-dessus le marché, elle n'accepte pas les critiques constructives et justes à son encontre et fait en sorte que le chef de cuisine passe pour le méchant. Tout le monde la considère comme la princesse au petit pois, mais les seuls petits pois que j'imagine doivent être les deux qu'elle a dans le citron pour qu'elle ait une idée (mauvaise à chaque fois) quand elle a la chance qu'ils s'entrechoquent dans son crâne. Elle apparaît comme vénale et superficielle au possible et par sa seule présence et ses actes, empêche des personnages secondaires bien plus intéressants d'avoir une place plus prépondérante dans l'histoire ce qui m'est apparu comme fort dommageable pour le drama en général.
C'est un gros point noir dans le scénario à mon sens, et quand son mari, Dan Seug Gi joué par Lee Gi Yeong, arrive en scène, j'ai vraiment eu peur car il agissait de la même façon, heureusement, par la suite, certaines choses changent mais pas son comportement à elle, si bien que vers la fin, on zappe complètement sur le personnage et c'est pas plus mal.
La réalisation :
Le drama fait ici 19 épisodes au lieu de 16 en général mais j'avoue ne pas avoir vu le temps passer. Par contre, il faut admettre que l'histoire se met en route un peu difficilement. Je ne dirai pas que le rythme est lent, c'est plutôt qu'on sent que les choses ont vraiment du mal à se mettre en place et il est vrai que quelques scènes comportent des longueurs ou sont inutiles et surtout ne sont pas accompagnées ni par de la musique, ni même par des sons ambiants et c'est assez gênant car on se demande ce qu'il se passe, ça nous sort de l'ambiance et c'est bien dommage. Mais cela ne dure que les quelques premiers épisodes, par la suite, on se prend vraiment dans l'histoire et on ne voit pas le temps passer.
Chaque histoire, que ce soit la vengeance, la romance ou la bromance, possède son temps de développement par des petites scènes qui s'enchaînent de manière naturelles et pour filer la métaphore de la cuisine c'est une sauce parfaite pour accompagner le plat principal de l'histoire qui nous est présentée.
D'ailleurs, les bisous et autres scènes romantiques commencent de façon très « HOT » sur le début pour se calmer bien vite par la suite (dommage^^) mais on en a pour ses papillons dans le ventre, ne vous inquiétez pas.
La façon de filmer m'a un peu surprise également sur le début, car, bien qu'il s'agisse d'un drama de 2018, la réalisation ressemblait, sur les premiers épisodes toujours, à une production de 2009 un peu façon soap et j'avoue avoir un peu de mal avec cette manière de rendu d'image.
L'OST est pas mal même s'il n'y a pas non plus de quoi casser des briques.
En définitive, l'histoire m'a bien plu si on arrive à s'accrocher aux premiers épisodes qui sont, à mon sens, d'un moins bon niveau que les suivants et si on excepte ce personnage exécrable de la mère (j'arrête de parler d'elle, ça m'énerve).
Maintenant, à vous de vous faire votre avis.
L'histoire :
Wok of love est une histoire de double vengeance et de romance sur fond de cuisine à la sauce gangster. Ce résumé rapide peut paraître un peu bizarre, je sais, mais si vous regardez ce drama vous vous rendrez vite compte que c'est un bon abrégé.
Les personnages :
J'ai découvert les acteurs Lee Jun Ho (Seo Pung) et Jeong Ryeo Won (Dan Seo Wu) à l'occasion de ce drama et je les ai trouvés convaincants dans leurs rôles, j'ai d'ailleurs hâte de les revoir dans d'autres productions, surtout Lee Jun Ho, car quand il sourit, c'est pas des papillons que j'ai dans le ventre, c'est des moissonneuses batteuses! Vous avez déjà entendu l'expression « avoir un sourire à un million de dollars »? Et bien là je veux bien payer ce million pour une compile de ses sourires...
Je connaissais déjà Jang Hyeok (Du Chil Seong) pour l'avoir vu dans Fated to love you et je dois avouer que je partais avec un à priori car je trouve sa façon de surjouer particulièrement agaçante, bon, il ne partait pas dans des grands éclats de rire comme dans ledit drama (même si la raison de ceux-ci est expliquée, ça reste énervant) mais le surjeu est là et il me fatigue, heureusement, ici aussi, au bout d'un moment il se calme pour nous livrer un jeu d'acteur bien meilleur parce que bien plus vrai d'après moi. Sa bromance avec le lead masculin est juste géniale même si pas autant poussée que dans d'autres productions que je connais.
Les autres rôles et acteurs jouent bien mais la personne dont je voulais surtout parler ici c'est la mère de la lead féminine, Jin Jeong Hye jouée par Lee Mi Suk. Alors, ici aussi il s'agit d'une découverte pour moi mais le personnage qu'elle joue m'a paru, au début, pour le moins agaçant mais par la suite, proprement IN-SU-POR-TABLE! Bon déjà, elle se fait embaucher en cuisine (pour éviter de finir à la rue, il faut le dire) et elle a déjà bien de la chance qu'on la prenne tellement elle est inutile et nulle en tout mais par-dessus le marché, elle n'accepte pas les critiques constructives et justes à son encontre et fait en sorte que le chef de cuisine passe pour le méchant. Tout le monde la considère comme la princesse au petit pois, mais les seuls petits pois que j'imagine doivent être les deux qu'elle a dans le citron pour qu'elle ait une idée (mauvaise à chaque fois) quand elle a la chance qu'ils s'entrechoquent dans son crâne. Elle apparaît comme vénale et superficielle au possible et par sa seule présence et ses actes, empêche des personnages secondaires bien plus intéressants d'avoir une place plus prépondérante dans l'histoire ce qui m'est apparu comme fort dommageable pour le drama en général.
C'est un gros point noir dans le scénario à mon sens, et quand son mari, Dan Seug Gi joué par Lee Gi Yeong, arrive en scène, j'ai vraiment eu peur car il agissait de la même façon, heureusement, par la suite, certaines choses changent mais pas son comportement à elle, si bien que vers la fin, on zappe complètement sur le personnage et c'est pas plus mal.
La réalisation :
Le drama fait ici 19 épisodes au lieu de 16 en général mais j'avoue ne pas avoir vu le temps passer. Par contre, il faut admettre que l'histoire se met en route un peu difficilement. Je ne dirai pas que le rythme est lent, c'est plutôt qu'on sent que les choses ont vraiment du mal à se mettre en place et il est vrai que quelques scènes comportent des longueurs ou sont inutiles et surtout ne sont pas accompagnées ni par de la musique, ni même par des sons ambiants et c'est assez gênant car on se demande ce qu'il se passe, ça nous sort de l'ambiance et c'est bien dommage. Mais cela ne dure que les quelques premiers épisodes, par la suite, on se prend vraiment dans l'histoire et on ne voit pas le temps passer.
Chaque histoire, que ce soit la vengeance, la romance ou la bromance, possède son temps de développement par des petites scènes qui s'enchaînent de manière naturelles et pour filer la métaphore de la cuisine c'est une sauce parfaite pour accompagner le plat principal de l'histoire qui nous est présentée.
D'ailleurs, les bisous et autres scènes romantiques commencent de façon très « HOT » sur le début pour se calmer bien vite par la suite (dommage^^) mais on en a pour ses papillons dans le ventre, ne vous inquiétez pas.
La façon de filmer m'a un peu surprise également sur le début, car, bien qu'il s'agisse d'un drama de 2018, la réalisation ressemblait, sur les premiers épisodes toujours, à une production de 2009 un peu façon soap et j'avoue avoir un peu de mal avec cette manière de rendu d'image.
L'OST est pas mal même s'il n'y a pas non plus de quoi casser des briques.
En définitive, l'histoire m'a bien plu si on arrive à s'accrocher aux premiers épisodes qui sont, à mon sens, d'un moins bon niveau que les suivants et si on excepte ce personnage exécrable de la mère (j'arrête de parler d'elle, ça m'énerve).
Maintenant, à vous de vous faire votre avis.
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