Have you ever wondered what if you were Ash Ketchum?
Then this is the perfect drama to watch! The ever whimsical Madoka takes off from her quiet town in...somewhere in Japan to hopefully find the job of her dreams in Tokyo. Every episode is like playing your own game of Pokemon, in-game battles creatively woven into actual, real-life problems.Do you need to play Pokemon to understand this drama? Not at all! But it sure would be better if you know the context since every episode is taken from stuff you usually encounter when playing Pokemon! (yes there are boss battles as well)
It is a fun time-waster, and is perfect for an idle watch. The episodes are either bland (but like, in a good way?) or over-the-top. The acting isn't bad, but it isn't good either, but the entire feel of this drama is warm and homey. The colors potrayed helped a lot too. It's like....returning back to your hometown kinda feel? Or if you play games, it's like if you play a classic Pokemon Red in a Nintendo Switch. It feels new, but old at the same time. I guess the word would be nostalgia.
The real deal, however was the music...I love how the Pokemon OST was incorporated and aside from that, how the drama is edited to feel like a Pokemon game.
I had fun watching this! There are several setbacks (obviously) but for some reason I just kept on coming back to this drama. Either because of the nostalgic vibes I get - growing up playing Pokemon.
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Natsukashi Monochrome
Juste après avoir remis le manga des années 80 sur le devant de la scène, Nishino Nanase revient mettre en lumière un autre objet emblématique, des années 90 cette fois, le Game Boy. Alors que pour l'hommage délirant à Hokuto no Ken, elle n'avait, si on peut dire, que le rôle de "faire valoir" empreint de sexisme, elle démontre ici, en tant que premier rôle et jeune diplômée découvrant la vie trépidante d'une célibataire-Working Girl, toute son indépendance et sa force de caractère à l'ensemble de ses collègues et clients.Travaillant dans une minuscule boite de pub, on aurait pu assister à un énième tuto sur comment être un bon Salaryman, donnant tout à son travail et rien à sa vie privée... avant de découvrir l'amour. Mais si le drama est bourré des clichées habituels sur le travail en office, au Japon, il prend rapidement sa dimension ubuesque en faisant référence à la mythique premier cartouche de jeux Pokémon. Celle de 1995 et aucune autre. L'esthétique du drama est donc empreint de ces (très) gros pixels monochromes et flous. Le drama joue à fond la carte de la nostalgie et ceux qui n'ont jamais joué vraiment longtemps à un Pokémon sont un peu perdus. Les références sont nombreuses et les comparaisons d'un client avec un de ces monstres de poches à capturer sont plutôt bien vus, mais très "Private Joke". Les "screens" de la Game Boy passant un peu vite et les hiraganas étant très pixelisés, le Gaijin aura du mal à apprécier toutes les subtilités écrites. Mais, comme dans un bon tuto de jeux vidéo made in Nintendo (très, trop ?, mentionné ), vous êtes pris par la main. Vous suivez les aventures initiatiques de Nishino Nanase dans un environnement finalement assez bucolique, malgré le cadre : travail de bureau. Même si elle a peine à sortir de l'enfance, en replongent systématiquement sur son vieil écran monochrome, malgré ses beaux paysages et ses personnages l'accompagnant dans ses rites de passages, d'autres personnages, dégageant pourtant un sérieux et un charisme animal, comme Kasamatsu Sho ou Uchida Rio se délectent également des retours dans le Kanto en noir et blanc des versions vert, rouge et bleu. Et on redécouvre, avec humour et passion, toute une philosophie dans le jeu que l'on peut retranscrire dans la dure réalité du travail à la japonaise.
Ce drama est une bouffée d'air fraie et de jouvence, qui résonne avec bonne humeur à celle que reçoit chaque protagoniste lors des moments passés sur sa console. On ressentira certainement les mêmes émotions en suivant leurs aventures, certes sur une durée de 25 min, seulement. Une plongée avec nostalgie et bonne humeur dans notre enfance, à des kilomètres en vélo de l'enfer du Pawa et du Secu-hara.
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