Playboy and the Gang of Cherry (2017)

ONE OF THE WORST MOVIES I’VE EVER SEEN (WHAT WAS THAT??)

Gun is miscast here. His acting is so awkward that it’s painful to watch. Always spitting, but it doesn’t suit his facial expression or movements. AND THAT VOICE!!! Why did they get THAT dubber to record over his voice?? It’s really laughable!!! Is that Russian? Haha!

Forty minutes into the movie and we still have no idea what the characters are talking about. Is it drugs? It’s not clear. Worst script.

If sadomasochism is your cup of tea, then maybe you’ll enjoy this movie. The first 30 minutes are nothing but nudity, sex, beating, whipping, slapping, pulling hair, kicking, hitting each other, cursing and shouting at each other.

Then, we get to have a respite of about 10 minutes, then it’s M2M sex again!

One hour into the movie and I still have no idea what the characters are talking about. Worst script ever.

Then, it’s over. I have no idea what went on there.

This is like watching a train wreck. You can’t look away. But in the end, you feel empty.

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Deux films durs mais hallucinants de profondeur

BON ! Ça y est j'ai vu (et revu) les 2 films, l'un après l'autre, dans l'autre sens, je me suis fait ma propre idée, j'ai pris des notes, j'ai cherché sur internet. Voilà mon avis sur ces deux films, car à mon sens, l'un ne va pas sans l'autre.

Attention cet avis comportera des SPOILS, donc si vous ne les avez pas vus, arrêtez votre lecture et revenez après.

D'après moi, le 1er film est un préquel et, certes, très symbolique mais les images n'en sont pas moins fortes et annoncent la dureté de ce qui suivra dans le 2ème qui sera plus dans l'action concrète. Je trouve qu'ils s'expliquent l'un l'autre en réalité.

Si on prend l'image du gâteau au chocolat, on voit que celui-ci est présent dans énormément de scène et je pense qu'il est une représentation de la vie, la vie en général, mais, ici plus particulièrement, la vie de Playboy et aussi celle de James.

James, on le voit, vit dans un environnement totalement clos mais qui est représenté dans des lumières très vives, blanches, tout est immaculé, rangé mais presque déshumanisé, sans chaleur, sans émotion. Sa mère le confine à la maison, même quand elle s'absente, on le voit bien dans leurs conversations, elle le garde sous cloche dans cet environnement aseptisé où rien ne dépasse jamais. Elle le range sur son étagère, entre les livres qui racontent le monde et les avions en modèle réduit qui symbolise un départ qu'il ne peut pas prendre. Il a pour seul vision du monde extérieur sa fenêtre inondée de lumière.

Quand on parle de lumière, justement, on est obligé de voir les contrastes tranchants qui sont utilisés dans le film, le monde de la maison, extrêmement lumineux mais rassurant et paisible et les habits de la mère de James, toujours noirs qui représentent la différence du monde extérieur : noir, violent, dangereux mais attractif pour son goût de l'inédit.

Ce qui va faire le lien ici, c'est le gâteau. Ce gâteau au chocolat amer, très sombre mais sucré aussi. La mère de James lui prépare ce gâteau comme pour lui montrer que la vie, le monde extérieur est comme ça. On peut reprendre ce que dit le professeur de cuisine justement dans le 1er film "C'est sucré au début, mais ensuite ça a un goût amer. Alors il vaut mieux ajouter plus de sucre ou équilibrer ça avec un café fort".

Le monde paraît lumineux et attractif depuis une fenêtre mais la réalité peut être dure et froide et l'obscurité est partout : dans le monde et dans les hommes.

Quand James se confronte a la dure réalité, les couleurs changent, on glisse vers le gris et le noir, comme les coins sombres de l'entrepôt délabré où il se retrouve avec Playboy, endroit chaotique au possible, où la destruction règne : destruction des murs, des corps et des esprits.

Et ici on peut rappeler ce qui commence le second film : "L'obscurité est l'obstacle le plus terrible à la vie, elle obscurcit souvent nos sens si flous, quand nous ne pouvons voir de la manière dont nos cœurs le voudraient".

Là les choses ont changées : James est monté en grade dans le gang et on se concentre plus sur Playboy qui sait nous montrer tout le désespoir qui l'anime car il vit dans cette dure réalité depuis si longtemps.

Les prises de vue sont époustouflantes, comme quand on le voit, si petit, à côté d'une grue gigantesque le tout illuminé d'une lumière crue et grisâtre pour nous souligner l'insignifiance de son être.

Le film nous montre la descente aux enfers et la vie qu'y mènent nos protagonistes. Playboy a l'air de vouloir s'en sortir mais il a les sens anesthésiés par tant d'obscurité dans sa vie, devant souffrir pour éprouver du plaisir, pour éprouver quelque chose, n'importe quoi.

Il se rend bien compte du vide de sa vie, il essaye de s'en créer une comme quand il se couche à côté du garçon enchainé, il s'invente une réalité pour un instant mais l'obscurité de la réalité le rappelle rapidement.

Je ne m'étendrai pas sur la fin pour que chacun / chacune puisse se faire son opinion et aussi parce que j'ai écris un vrai roman même s'il y a encore tellement à dire sur ces deux œuvres.

Ce sont deux films qui sont durs, très durs mais ils restent dans la tête car ils vont vous faire réfléchir à énormément de choses...

Maintenant, à vous de vous faire votre avis.

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2 hours that I'll never get back

Not for the feint hearted!
I've seen a few things that Gun has done and had hoped this would be up to a similar standard - oh how dissaponted I was!
I'm not sure it should actually be called a movie as it's completely lacking in story - some full on porn has more of a story than this.
It is pretty full on with mainly scenes of either sex or extreme violence/torture and I found it so boring that I would skip little bits to see if it improved but I was disappointed.
But if all you want is to watch some cute guys doing stuff with a fair dose of blood then this ideal for you!

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It is not an easy film for the viewer, nor does it reach great heights of appreciation, many will give up because of complete confusion, insanity, bullshit, stupidity, and I had this tendency too. But not only under the influence of the fact that the film won several awards at various festivals, I watched it and .... I usually end up with a weak film and I don't remember it anymore and I don't even want to remember it. However, this is not the case with this picture and I was thinking more and more about what it was supposed to convey.
The acting side of this coarser erotic film was solid in my opinion, and it must have been a lot of work. Gun plays a completely different character than we know him. Mac was not afraid to show himself in uncomfortable situations and erotic positions. Cherry gave an excellent performance full of hatred, lust, violence and malice and as a character she had several lives as a cat. There are other characters in the film, I was interested in LadyBoy, who at first in his female role I didn't recognize as a man (or rather a skinny young man). The director himself also played there. The chained boy was the saddest character in the film. Questions like whether this is even possible in human society remained in my mind, but apparently it is...




Pro diváka to není snadný film, ani nesahá do velkých výšin ohodnocení, mnozí to vzdají pro naprostou zmatenost, šílenost, kravinu, debilitu a i já jsem měl tuto tendenci. Ale nejen pod vlivem toho, že film získal několik ocenění na různých festivalech jsem se dodíval a .... většinou u slabého filmu končím a více si na něj už nevzpomenu a ani nechci vzpomenout. S tímto snímkem tomu tak ale není a stále víc jsem přemýšlel, co tím mělo být sděleno.
Herecká stránka u tohoto hrubšího erotického filmu ale byla dle mě solidní a muselo to být i hodně práce. Gun hraje naprosto jinou postavu, než jak jej známe. Mac neměl strach se ukázat v nepříjemných situacích a erotických pozicích. Cherry podala výborný výkon plný nenávisti, chtíče, násilí a zloby a jako postava měla několik životů jako kočka. Ve filmu jsou i další postavy, zaujal mě LadyBoy, u kterého jsem nejdříve v jeho ženské roli nepoznal, že je to muž (no spíše hubeňoučký mladík). Zahrál si tam i samotný režisér. Zřetězený chlapec byl nesmutnější postavou filmu. V mém nitru zůstaly otázky typu, zda je toto vůbec možné v lidské společnosti, ale zřejmě ano ...

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I wonder if my interpretations are right

I think this is the continuation of Bittersweet Chocolate. In Bittersweet Chocolate, James was given drugs by Playboy since he was still so young. Maybe he was still in kindergarten or first grade in elementary school when Playboy started giving him drugs. The actor looked so young. James grew up as a drug user (and maybe a drug dealer), but he managed to hide it from her mom. We can see the absence of his mom in this movie. She was rarely at home and didn't talk to him that much. He was preparing for college if I recall it right. But at some point, it looked like he ran out of money. He used the drugs he wasn't supposed to use without paying (I mean. he stole it). Playboy became mad and started hitting him (that's the ending of Bittersweet Chocolate). The director wanted to tell us the importance of family time and proper communication, I think. That way, such things can be seen as soon as possible.
And then Playboy and The Gang of Cherry. In this movie, we can see that James has become a part of the gang completely. He doesn't stay with his mom anymore. In this movie, a lot of time was used to portray the problems caused by James. He stole the drugs, Playboy somehow hides that fact and made Cherry mad. It looks like Playboy cares about the chained boy, so in order to annoy Playboy, Cherry keeps on torturing him. And then in the middle, we see Max and Playboy talk, which was played by the same person (Fuhrer Steven). I don't remember that much about this part, but I think Max (I think he is Playboy's alter ego or whatever, I don't know much about psychological terms) asked why Playboy stay in that place. Playboy started wondering about it. In the end, he decided to go and also take the chained boy with him. At the same time, James became irritated by his new environment and Cherry so he killed Cherry and go. This isn't your usual happy ending but it is... I guess. I think the director wants to tell us that villains (or at least some of them) aren't 100% evil. Sometimes they still show their "good" side. And that they can change. Just maybe. I'm not a native speaker, so I'm not sure my words are understandable but I tried at least.

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For people who watched the prequel

So basically it tells us James' story, a boy that came from a wealthy family and were pressured by his mom to study harder and harder, as he pretend to be exactly what she wanted he was, in reality, sinking and drugs and starting to engage in prostitution.
In this one, we can see how James turns out, probably in a couple of years of difference. As someone who watched Bittersweet Chocolate, I knew not to expect a clear movie.
The actors are not bad, not bad at all. BTW cheers to the little boy in chains he made an amazing job performing torture and fear is not easy.
The only thing I didn't like tho was how explicit was the sex scenes, that weird-looking childish ladyboy, whose only scream time was to be fingered, really shocked me off. But clearly, the whole intention of this movie is to be shocking.
So no, I don't think this movie is that bad for people used to cult cinema but do have A LOT of flaws.

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